Chaque goutte compte dans la gestion durable de l’eau
L’eau est précieuse, même s’il pleut beaucoup en Belgique et au Luxembourg. Les sécheresses répétées auxquelles nous sommes régulièrement confrontés nous le rappellent. Après tout, il n’y a pas d’approvisionnement illimité en eau potable.
Pour Coca‑Cola, une gestion durable de l’eau signifie trois choses:
- Nous veillons à ce que l’eau ne soit pas gaspillée sur notre chaîne de production complète.
- Nous protégeons les ressources en eau afin de les préserver pour l’avenir.
- Et nous restituons l’eau à la nature.
Comment Coca‑Cola gère-t-il l’eau de manière durable ?
Avec une stratégie de « Restitution de l’eau à son environnement naturel », nous cherchons à compenser chaque litre d’eau que nous utilisons pour produire nos boissons. En Belgique, Coca‑Cola Services travaille avec Natuurpunt et Natagora pour rendre à la nature l’eau qui entre dans nos boissons. Nous contribuons ainsi à un équilibre sain de l’eau dans notre propre environnement – et donc à l’avenir de l’eau potable.
Sans eau, pas de boissons
L’eau est le principal ingrédient de tous nos produits. Logique, lorsqu’on fait des boissons. Il va donc sans dire que l’eau est précieuse pour nous, surtout là où elle est rare. Notre objectif ? Restituer à la nature 100 % de l’eau que nous utilisons dans nos boissons.
Coca‑Cola Europacific Partners (CCEP) réduit également sa propre consommation d’eau, car chaque goutte économisée en vaut la peine. Nous continuons à chercher des moyens d’utiliser moins d’eau pour produire nos boissons. Par exemple, nous purifions les eaux usées utilisées pour rincer les bouteilles en verre en vue de leur réutilisation avant qu’elles ne sortent de l’usine.
Nos objectifs pour économiser et préserver l’eau
En matière de protection des eaux locales, nous ne voulons pas que nos actions soient une goutte d’eau dans la mer. Nous protégeons nos propres sources d’eau pour les générations futures. Grâce à la « Restitution de l’eau à son environnement naturel », nous rendons à la nature l’eau que nous consommons. Et nous réduisons l’eau utilisée par nos processus de production.
1. Protéger nos sources d’eau
L’eau contenue dans chaque bouteille de Chaudfontaine a voyagé pendant plus de 60 ans à travers des couches rocheuses purificatrices jusqu’à une profondeur d’environ 1 600 mètres, avant de remonter dans une source thermale. Ce parcours unique fait de Chaudfontaine une eau minérale naturelle particulièrement pure.
Une histoire aussi extraordinaire mérite d’être protégée. Bien sûr, nous voulons que les générations futures puissent profiter de la qualité de l’eau de Chaudfontaine. C’est pourquoi CCEP investit avec la Région wallonne dans la protection du bassin hydrographique de Chaudfontaine, qui couvre 250 hectares.
Nous travaillons avec l’Université de Liège et la commune de Chaudfontaine pour mieux comprendre les risques de pollution, avec le soutien de la Région wallonne. A la fin 2023, nous aurons pris au total 556 mesures pour protéger ce patrimoine naturel.
Au fait, saviez-vous que toutes les usines de CCEP ont un plan de gestion de l’eau ? Tous les cinq ans, nous effectuons une évaluation de la vulnérabilité des eaux de source afin de déterminer la durabilité de nos ressources en eau et les risques potentiels pour les communautés locales et l’écosystème. Nous utilisons ces informations pour élaborer notre plan de gestion de l’eau.
Nous protégeons ainsi l’eau potable à proximité et nous assurons que nos usines ne consomment pas l’eau dont les habitants et la nature ont tant besoin.
2. Restituer à la nature 100 % de l’eau utilisée pour nos boissons dans les régions où elle est rare
Dans le monde entier, The Coca‑Cola Company collabore avec des projets locaux pour la « Restitution de l’eau à son environnement naturel ». Qu’est-ce que cela signifie ? Que nous rendons à la nature l’eau que nous utilisons pour notre production. En Belgique, nous le faisons en collaboration avec la Fondation Coca‑Cola et nos partenaires Natuurpunt et Natagora dans les zones naturelles des tourbières de Turnhout, de la Lorraine belge, de la lande de Kalmthout et de la vallée du Démer.
D’ici 2030, nous voulons compenser 100 % de l’eau que nous utilisons dans nos boissons. Aujourd’hui, ce pourcentage est de 50 % en Belgique* et plusieurs projets sont en cours pour l’augmenter.
Nos projets durables dans le domaine de l’eau en Belgique
- Stapperssven, Kalmthout : dans la lande de Kalmthout, Natuurpunt restaure l’ancien paysage de dunes. Cette vaste réserve naturelle joue un rôle important pour les eaux souterraines de toute la région. Sur les sols sableux, la pluie peut bien s’infiltrer sous terre, où elle reconstitue les réserves d’eau.
- Vallée du Démer, Bilzen : les marais du Démer sont une zone marécageuse où Natuurpunt veut faire remonter le niveau de la nappe phréatique. Ainsi, les réserves d’eau potable de la région seront reconstituées.
- Lorraine belge : cette tourbière de 480 hectares, située à la frontière entre la Belgique et la France, possède un sous-sol calcaire, ce qui explique que le sol retient bien l’eau. En raison de la faible acidité, la biodiversité y est énorme. Malheureusement, les tourbières disparaissent en Europe. Natagora protège cette zone du drainage.
- Zone des tourbières de Turnhout : les tourbières de cette zone reconnue Natura 2000 attirent des espèces animales rares et offrent également les conditions parfaites pour un certain nombre de plantes aquatiques et littorales uniques. Natuurpunt restaure les tourbières et les biotopes qui les entourent pour soutenir ces espèces menacées.
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* Il s’agit du pourcentage d’eau que nous restituons à la nature par rapport au volume total d’eau utilisée pour notre production et que nous extrayons dans les zones de stress hydrique. Le ratio d’utilisation de l’eau (WUR) exprime le degré d’efficacité de l’utilisation de l’eau dans la production des boissons : combien de litres d’eau sont nécessaires par litre de produit ?